j'aime pas les imprévues.
moi, ce que je voulais, c'étais aller te chercher ce soir, te ramener à la maison pour que tu puisses bouffer ce que je t'ai préparé aujourd'hui.
pour qu'on passe une soirée en amoureux. que tu me racontes ton voyage. si tu avais faim, je t'aurais préparer du poulet et des patates.
je voulais te préparer une belle soirée/nuit parce que je m'ennuie BORDEL. pis que je t'aime... je suis tannée d'attendre toujours.
je passe ma vie à attendre. j'ai attendu tellement longtemps et souvent. tu sais même pas comment.
j'ai déjà attendu quelqu'un pendant plus d'un an, à compter les jours et les nuits, et toujours souhaiter de le voir débarquer. et ça n'est JAMAIS arrivé.
god bless me quand j'y pense bien.
et y'a un autre quelqu'un que j'ai attendu beaucoup longtemps pour ma VIE, pis c'est comme si j'avais attendu la sortie d'un film dont le scénario n'avait même jamais été écrit.
attendre, c'est le pire des supplices. la solitude qui vient avec aussi est pénible.
si j'écris, c'est justement pour combler ce vide en dedans. un trou que j'ai depuis longtemps que j'arrive pas à remplir.
je me sens complète quand t'es là. mais c'est éphémère et illusoire. parce que seule j'y arrive pas.
moi, ce que je voulais, c'étais aller te chercher ce soir, te ramener à la maison pour que tu puisses bouffer ce que je t'ai préparé aujourd'hui.
pour qu'on passe une soirée en amoureux. que tu me racontes ton voyage. si tu avais faim, je t'aurais préparer du poulet et des patates.
je voulais te préparer une belle soirée/nuit parce que je m'ennuie BORDEL. pis que je t'aime... je suis tannée d'attendre toujours.
je passe ma vie à attendre. j'ai attendu tellement longtemps et souvent. tu sais même pas comment.
j'ai déjà attendu quelqu'un pendant plus d'un an, à compter les jours et les nuits, et toujours souhaiter de le voir débarquer. et ça n'est JAMAIS arrivé.
god bless me quand j'y pense bien.
et y'a un autre quelqu'un que j'ai attendu beaucoup longtemps pour ma VIE, pis c'est comme si j'avais attendu la sortie d'un film dont le scénario n'avait même jamais été écrit.
attendre, c'est le pire des supplices. la solitude qui vient avec aussi est pénible.
si j'écris, c'est justement pour combler ce vide en dedans. un trou que j'ai depuis longtemps que j'arrive pas à remplir.
je me sens complète quand t'es là. mais c'est éphémère et illusoire. parce que seule j'y arrive pas.
j'en ai mal à la tête d'être vide et terne.